fbpx

Il y a quelques temps j’ai posé cette question sur ma page Facebook « Et si vous étiez millionnaire, est-ce que vous continueriez à faire votre métier ? »

C’est une question qui mérite d’être posée et d’y réfléchir.
Alors, quelle est votre réponse ?
Certaines m’ont dit que leur métier évoluerait mais qu’elle continuerait leur expertise, d’autres m’ont dit qu’elles changeraient de voie.

Moi, si j’étais millionnaire, j’exercerai toujours mon métier. Parce que mon métier, c’est ma mission ! Et ma mission c’est de rendre visible les entrepreneures de demain, celles qui changent le monde en faisant leur part de colibri*, celles qui apportent du bonheur, de la joie, du bien-être grâce à leur expertise.
Bien sûr, d’autres choses changeraient. Je travaillerai peut être d’un peu partout dans le monde, je développerai sûrement des choses pour soutenir l’éducation bienveillante, permettre aux enfants d’exprimer pleinement leur potentiel et leur unicité par exemple…
Je ferai encore plus de création d’événements pour rendre visible mes clientes, avec cette notion de féérie, de magie, pour voir des étoiles dans les yeux des invités, que chaque adulte puisse se reconnecter à son enfant intérieur, parce que ça, ça vibre beaucoup aussi !!!

Et vous, qu’avez-vous répondu ?
Si votre réponse est non, que vous ne feriez plus ce métier, c’est que vous n’êtes pas dans votre mission, là où vous êtes faites pour aller, pour vous épanouir et apporter votre contribution au monde, votre lumière.

*Connaissez vous cette légende amérindienne du colibri, racontée par Pierre Rabhi, son fondateur :
Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : « Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! « 
Et le colibri lui répondit : « Je le sais, mais je fais ma part. »

Quelle est votre part ? Partagez-moi en commentaires ! J’aime vous lire 🙂